D’après une étude menée par des scientifiques de l’université du Wyoming, Le Professeur James D Rose affirment que les poissons ne peuvent pas ressentir la douleur de façon consciente, il déclarait que les poissons ne possèdent pas la région du cerveau nécessaire et spécifique qui leur permettrait de ressentir la douleur, Conclure que le poisson peut ressentir de la douleur est en opposition directe avec les récents travaux..
Le Dr Ruth Sneddon, proclament que leur récente recherche démontre que les poissons peuvent percevoir la douleur. Cette conclusion vient de leurs expériences perpétrées sur des truites arc-en-ciel vivantes; les bouches des dites truites ayant reçu des injections de poisons (venin d'abeille et acide acétique) elles s'étaient frottées la bouche contre des cailloux et déplacées avec stress lorsque les chercheurs les avaient observées, leur physiologie et leur comportement ont été surveillés.
La truite gigote au bout de l’hameçon une fois sortis de l'eau, ce serait ainsi par pur réflexe mécanique de défense. Outre cette étude, les nouveaux travaux citent également une autre recherche au cours de laquelle des poissons ont été attrapés à l'aide d'hameçon avant d'être libérés et quelques minutes plus tard elle remordait, les chercheurs ont constaté que ceux-ci reprenaient une activité tout à fait normale et montraient une bonne survie. Des signes qui confirmeraient qu'ils n'ont pas ressenti de douleur lors de l'hameçonnage, selon eux.
Une nouvelle qui permettrait surement aux pêcheurs de se sentir moins coupables dans la pratique de leur passion.
Personnellement, un poisson a la notion du danger, de fuire quand elle voit une ombre ou un mouvement dans l'eau, aussi bien quand on dépose un poisson sur la berge son réflexe est de se diriger vers l'eau, quand une truite ou un brochet piqué par l'hameçon celui-ci saute hors de l'eau même sans l'avoir ferré ou sans avoir mis le fil en tension, au moment où l'on enlève l'hameçon souvent le poisson se débat. La plupart des poissons produisent des sons (audibles grâce à un hydrophone) lorsqu'on les tient ou les poursuit. Il a été démontré que les perches apprennent rapidement à éviter les hameçons en voyant d'autres poissons se faire prendre.
Un poisson est un être vivant quoi que disent les scientifiques, ils doivent être respectés et des précautions doivent être prises. Si vous conservez votre poisson pour le consommer ne le laisser pas sur la berge, soit le mettre dans une bourriche ou le tuer directement.
L’opération la plus délicate et elle doit être la plus rapide possible, le poisson peut être accroché profondément dans la gorge, utiliser une pince longue et mince, il est préconisé de ne pas toucher les ouïes, pour les tridents utiliser une pince coupante et couper les pointes, un triple laisser dans la gorge d'un poisson celui-ci risque de mourire si il ne se résorbe pas rapidement, il arrive des fois qu'un kyste recouvre l'hameçon et arrive a dissoudre le métal au bout de plusieurs mois.
???Le poissons sont victimes de nombreux maladies. En plus des maladies proprement dites, ils subissent des agressions de toutes sortes. Malheureusement, il n’est pas rare que ce soit nous les responsables. Notre développement laisse un impact inévitable sur notre planète.
Un des maux les plus communs est l’empoisonnement. Des centaines de poissons de diverses espèces et d’âges meurent en peu de temps. Une épidémie touche les poissons d’une même espèce et parfois d’un même âge. Elle dure dans le temps et sa cause est plus facilement identifiable. Une épidémie suite à un léger empoisonnement est souvent possible.
Certain rempoissonnement peut provoquer une épidémie entre les poissons qui peut être dû a une malveillance sanitaire, également dû au changement de l'eau température,PH ..... .
D'après les informations que j'ai pu glaner sur internet, la maladie provient d'un parasite Posthodiplostomum cuticola, Il appartient au groupe des Plathelminthes (ou vers plats) et, parmi eux, aux trématodes digénétiques ou Digènes. Cette dernière appellation fait référence à l'hermaphrodisme Posthodiplostomum cuticola.
Les Digènes présentent un cycle de vie complexe, avec des hôtes intermédiaires qui hébergent les phases larvaires du parasite, généralement d'un mollusques qui peut etre un escargot ou une moule, puis un poisson; un hôte définitif qui héberge le parasite adulte. Il s'agit généralement d'un oiseau piscivore comme le Héron ou le cormoran.
En pratique, les larves quittent le mollusque au stade larvaire dit "cercaire" et vont se loger sous la peau d’un poisson pour s'y enkyster d'un stade métacercaire. Les points noirs observés sur les poissons localisent ces métacercaires, où le poisson à réagit en produisant une forte concentration de pigments noirs (mélanine). Ces points noirs sont de tailles variables selon les espèces mais sont toujours visibles. Ils peuvent s’observer sur toute la surface du corps, y compris les nageoires, sur les perches, brèmes, gardons et carasins
La maladie des points noirs est une pathologie favorisée par les températures estivales élevées. En revanche, l’infection régresse lorsque la température diminue baisse du nombre de larves de trématodes.